A quoi sert de découpler le back et le front d'un site e-commerce ?
Premièrement, à bénéficier d’un front au top des best-practices en termes d’intégration, de performances et d’expérience utilisateur, grâce au pré-rendering et aux langages utilisés pour coder ces templates : React, GraphQL, NodeJS…
Mais aussi à s'adosser à une architecture technique plus flexible et plus évolutive : dissocier le moteur de votre site e-commerce de ce que voient vos visiteurs permet une plus grande vélocité dans l’amélioration continue de votre expérience utilisateur, notamment en phase de run, pour l’ajout ou la suppression de services tiers en front, dont l’assemblage est grandement facilité.
C’est aussi une bonne stratégie pour se lancer dans une refonte par étapes, avec un time-to-market plus court et un périmètre de refonte mieux maîtrisable par l'ensemble des parties prenantes. En effet, dé-corréler le front du back permet de se concentrer uniquement sur les enjeux de front, puis de prendre le temps nécessaire à la migration éventuelle d'un back office riche et lourd, notamment lorsque votre site est basé sur une plateforme e-commerce de marché sur laquelle s’empilent plusieurs années de modules et de développements, rendant la refonte ou le replatforming “complet” trop long ou trop coûteux.
La solution est calibrée pour des boutiques en ligne complexes, matures, à fort trafic, nécessitant des méthodes de déploiement rigoureuses (tests unitaires, systèmes de conception…). Son architecture en micro-services permet de communiquer, grâce à un connecteur central, avec toutes les applications métier de votre écosystème e-commerce (ERP, PIM, CRM etc…) et bien entendu, avec votre back-office (pour l’instant, Magento I et 2, Commerce Cloud et Orocommerce).